Jérôme Fort est chercheur au sein du laboratoire Littoral Environnement et Sociétés (LIENSs). Il est spécialiste en écophysiologie et étudie les effets des changements environnementaux sur les oiseaux marins. Voici un résumé de sa présentation:

L’Arctique subit aujourd’hui une accélération des changements environnementaux qui va affecter l’ensemble des espèces et de la biodiversité de cette région. Dans ce contexte, il est essentiel et urgent d’évaluer la vulnérabilité des espèces arctiques, mais aussi de comprendre et de prédire les impacts de ces changements sur ces dernières. Une rapide présentation de trois programmes de recherche en cours (ADACLIM, ILETOP et ARCTOX) financés …

Olivier Chastel rapporte sur les deux programmes qu’il anime sur la bioaccumulation de contaminants polluants organiques persistants (POPs), composés organiques (DDT, DDD, DDE, HCB, PCBs, et PBDEs) et métaux lourds (As, Cd, Hg, Pb), chez les prédateurs supérieurs en Arctique (Spitsberg, Ny Alesund) et en Antarctique / Subantarctique (projet Polartop, financé par l’ANR). A noter que ces projets reposent sur une base d’expertise régionale (Nouvelle Aquitaine) très importante et unique.

Enseignant-chercheur à l'Université de Toulouse, Eric Crubezy dirige le Laboratoire d'anthropobiologie et d'imagerie de synthèse Anthropobiologiste, spécialiste de l’histoire biologique humaine, ses recherches se focalisent sur les interactions entre gènes et culture. Parmi ses terrains de recherche se trouve la Sibérie.

Le 8 novembre 2017, Eric Crubezy a présenté le Laboratoire international associé : « Coévolution Homme milieu en Sibérie orientale ».

Tristan Guillot est chercheur à l’Observatoire de la Côte d’Azur (OCA).

Spécialiste de l’astronomie et des exoplanètes, sa présentation du 7 novembre 2017 s’intitulait : « Observer des exoplanètes depuis Concordia ».  En voici un compte-rendu :

Sylvie Beyries est directrice de recherche au CNRS au sein de la composante « Préhistoire et Ethnoarchéologie : systèmes techniques, espaces sociaux, transferts ».  Elle est spécialiste des industries lithiques et de l’ethnoarchéologie en milieu périglaciaire.

Sa présentation du 8 novembre 2017 s’intitulait « Ethnoarchéologie de l’usage et de l’exploitation des plantes par les sociétés arctiques et subarctiques ». En voici un résumé :

Matthieu Chevallier est chercheur au Centre national de Recherche en Météorologie, au sein de l’équipe « Interactions Océan-Glaces-Atmosphère » du Groupe de Météorologie de Grande Echelle et Climat. Ses thématiques de prédilection sont, parmi d’autres, la prévisibilité en Arctique et les interactions océan-glace-atmosphère dans les moyennes et hautes latitudes.

Sa présentation du 7 novembre 2017 s’intitulait : « Prévisions environnementales dans les régions polaires ». En voici un compte-rendu :

Marc Delmotte est ingénieur de recherche au CNRS, au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement. Il est spécialiste de l’étude des gaz à effet de serre, en particulier au Groenland.

Sa présentation du 8 novembre 2017 s’intitulait : « Suivi des gaz à effet de serre en zone polaire ». En voici un compte-rendu :

Jean Duprat est chercheur au Centre de Sciences Nucléaires et de Sciences de la Matière (CSNSM). Il obtient en 2012 la médaille d’argent du CNRS pour ses programmes de recherche de micrométéorites en Arctique et en Antarctique.

Sa présentation du 7 novembre 2017 s’intitulait « Micrométéorites à Dôme C, des poussières extraterrestres dans les neiges antarctiques ». En voici un compte-rendu :

Yvon Le Maho est un écophysiologiste français, directeur de recherche au CNRS à l'université de Strasbourg. Il est élu correspondant de l'Académie des Sciences le 22 mars 1993, puis membre (dans la section de Biologie intégrative) le 28 octobre 19963. Il a été impliqué dans le Grenelle de l'environnement et a rédigé un rapport concernant le maïs OGM.

Jérôme Chapellaz est directeur de recherche au CNRS, rattaché à l’Institut des Géosciences de l’Environnement. Spécialiste de la glaciologie et de l’étude des paléoclimats, Jérome Chapellaz a été nommé directeur de l’Institut polaire Paul Emile Victor le 1er mars 2018. Ses travaux ont été récompensés de la médaille d’argent du CNRS, ainsi que de nombreux prix.

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